
Un titre énigmatique, un singe auréolé, une multitude de références bibliques et aquatiques, les mystères de l’Ouest et de l’espace qui s’entrecroisent et surtout un sens de la dynamique incomparable : Doolittle a tout pour marquer les esprits en 1989.
Son impact a contribué à élargir l’audience de la scène alternative américaine, celle qui constituait la marge rageuse du rock et l’éthique punk du do-it-yourself, face au hard rock fm qui remplissait alors les stades.